Avenir de la France

cristaline a écrit:


Je suis assez d'accord avec toi ! Ainsi va le système capitaliste ; perso, je n'achète pas d'actions, ça me ferait suer de suivre le cours de la bourse, auquel je ne comprends rien, mais les actionnaires soutiennent les entreprises ! Drôle de cercle....Je me sens si loin de l'argent ! Même si j'en ai assez pour bien vivre, mais en avoir plus ne m'intéresse pas

Comme toi, je suis satisfaite de ce que j'ai, bien que je possède des actions. mais je ne suis pas une grosse actionnaire et ne suis pas le nez sur la bourse. Disons que j'avais un petit capital à placer, et le laisser sur un compte en banque aurait été une perte de valeur assurée. là, ça gagne petitement, juste pour pallier l'inflation en gros. Et puis cela me fait un matelas de protection en cas de pépin sans avoir à demander un crédit, car l'âge du demandeur venant, les banques restent frileuses. mais l'argent pour l'argent, non, ce n'est pas mon truc

Actions achetées il y a 20 ans ayant bien remontées revendues à temps et servies en partie pour l’achat de notre pavillon lors de la retraite du mari
Une belle affaire ma foi car notre emprunt n’était pas élevé

Sabbatha a écrit:


Cela dit, les actionnaires prennent aussi le risque de perdre au lieu de gagner. >Pour le moment ils gagnent donc on les envie, mais s'ils venaient à perdre, voire à tout perdre, personne ne les plaindrait. Ainsi va le monde. Et personne ne nous empêche d'acheter une ou plusieurs actions. Soyons donc logiques au lieu d'être envieux!

Ca m'étonnerait que dans le pétrole, ils risquent de se casser la figure. Car maintenant tout dépend du pétrole.

Soizik57 a écrit:

Dan22 a écrit:VRAI OU FAUX. Pénurie d'essence : le salaire du patron de Total a-t-il vraiment bondi de 52 % l'année dernière ?

Invité à réagir à ce sujet au micro de RTL ce mercredi, Alexis Corbière, député LFI de la Seine-Saint-Denis, a lancé une pique au patron de Total, Patrick Pouyanné, l'accusant de s'être "auto-augmenté de 52% l’année dernière", justifiant la demande d'augmentation de 10% réclamée par les grévistes. Mais qu'en est-il réellement ? La Dépêche démêle le vrai du faux.

En effet, le salaire du PDG de Total a bien bondi de 3,9 à 5,9 millions d’euros au printemps dernier, lui faisant intégrer le cercle des 30 % de patrons les mieux payés du CAC 40, comme le rapporte Capital.

Patrick Pouyanné a ainsi effectivement augmenté sa propre rémunération de 52 % l'année dernière, la portant à 500 000 euros par mois. Dans le même temps, le groupe pétrolier, qui a réalisé près de 19 milliards d'euros de bénéfice sur les six premiers mois de l'année 2022, a versé une prime exceptionnelle de 2,6 milliards d'euros à ses actionnaires, qui s'ajoutera aux dividendes réguliers versés à la fin de l'année.

Sur les réseaux sociaux, des internautes accusent les salariés des raffineries de faire grève et bloquer le carburant, alors que leurs salaires seraient nettement supérieurs à la moyenne en France.

VRAI ou FAUX, va t'en savoir, tout comme la rémunération du PDG de TOTAL E.

Vrai.

Dan22 a écrit:

Ca m'étonnerait que dans le pétrole, ils risquent de se casser la figure. Car maintenant tout dépend du pétrole.

Tu ne sais pas ce qu'il en sera demain.

ce qui est certain c'est que plus on en donne aux gens plus ils en veulent. C'est casse-gueule, mais c'est humain.

Sabbatha a écrit:
Tu ne sais pas ce qu'il en sera demain.

Ben demain, c'est un autre jour

Dan22 a écrit:

Ben demain, c'est un autre jour

Ça c'est une réponse pirouette!!!

cacahouète !

Carpe diem

Dan22 a écrit:Carpe diem

Arrête tu vas finir par être saoule de tant pirouetter

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Eh bien, voilà ; après la dégringolade spectaculaire du français, à l'écrit et à l'oral, je ne sais pas s'il était vraiment urgent d'intégrer des mots africains au dictionnaire ? Sauf à vouloir plaire aux "minorités" bientôt majoritaires ? Ça me met hors de moi ; Pap Ndiaye va être content....

cristaline a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Eh bien, voilà ; après la dégringolade spectaculaire du français, à l'écrit et à l'oral, je ne sais pas s'il était vraiment urgent d'intégrer des mots africains au dictionnaire ? Sauf à vouloir plaire aux "minorités" bientôt majoritaires ? Ça me met hors de moi ; Pap Ndiaye va être content....

Au moins cela permettra-t-il de trouver une définition si l'on se demande ce que ça signifie. De tout temps des mots étrangers se sont intégrés à la langue. Il est vrai qu'aujourd'hui cela va de plus en plus vite et en plus grand nombre, et signifie peut-être aussi que non seulement notre langue, mais nous mêmes sommes colonisés, ce qui n'était pas forcément le cas auparavant. Et c'est cet aspect du phénomène, qui, en effet, peut être irritant.

Tiens, j'étais justement en train de chercher où j'avais posté cet article : les modifications langagières que l'on intègre au dictionnaire reflètent les modifications de population et son évolution, de toute évidence, et, à ce point, oui ça me dérange

cristaline a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]



Ce n'est plus "l'avenir", mais "le présent"....

  En plus qui delincance dis que tout ceux qui ont acheter dans ces commune que leurs maison ne vaudra plus rien parce que les personnes voudront plus y vivre . Tout ces gens qui ont acheter et donc leurs bien a perdu de là valeurs

cristaline a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]



Ce n'est plus "l'avenir", mais "le présent"....

Je ne sais plus si vous vous rappelez la commune de Callac dont je vous avais parlée: eh bien ce n'est plus un mais deux projets maintenant.

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Pardon de revenir un peu en arrière mais je n'étais pas sur le forum.

Un mot est utile quand il n'en existe pas d'autre pour désigner la même chose.
Ainsi, go est inutile et babtou l'est aussi puisqu'il existe déjà sa version d'origine, toubab.

Par contre, brouteur est utile parce qu'il n'existe aucun substitut à ce mot, sinon sa définition.
Parmi ses multiples sens, toubab désigne une personne de nationalité française née ou ayant vécu dans l'ex-AOF.
Il est utile parce qu'il n'y a rien d'autre....pour nous désigner, nous les toubabs.

Oui certes mais ????
Je ne comprends pas là où tu veux en venir LV

Sabbatha a écrit:


Je ne sais plus si vous vous rappelez la commune de Callac dont je vous avais parlée: eh bien ce n'est plus un mais deux projets maintenant.

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Je crois que j'en avais déjà parlé ici ?

Ils viennent pour repeupler la Bretagne ?

Soizik57 a écrit:Oui certes mais ????
Je ne comprends pas là où tu veux en venir LV

J'ai repris les mots cités par l'article mis en lien.
L'inclusion du mot go ne répond à aucun besoin sémantique. Fille est un synonyme parfaitement acceptable et suffisant. Par conséquent, elle n'est probablement que le résultat d'une certaine forme de complaisance.
Brouteur, par sa spécificité (il renvoie à une forme d'arnaque bien précise), répond à un besoin de la langue...quel que soit le mobile qui a donné lieu à son inclusion.

Suite au post de Cristaline concernant les nouveaux mots qui font leur entrée dans le dictionnaire
Ok merci pour la réponse LV
Je n’étais pas remonté si haut

De quoi le 49.3 est-il le nom ?
Elisabeth Borne a donc, sans surprise, dégainé le 49.3. Contre quoi ? Contre une majorité qui s’est trouvé, de bric et de broc, dans l’Assemblée, dans la diversité, pour voter la fin de l’Exit tax. Pour voter la demi-part fiscale pour les veuves d’anciens combattants. Pour voter un crédit d’impôt pour les personnes âgées hébergées en Ehpad. Pour voter les frais kilométriques des bénévoles. Pour voter, surtout, initiée par les centristes du Modem, une taxe sur les super-dividendes.
C’était, sur tous ces amendements, une majorité de bon sens.
Je dirais même : une majorité de décence, à l’heure où les dirigeants se gavent en haut (rémunérations des PDG doublées l’an dernier, bénéfices monstres pour le Cac 40, dividendes records, etc.), tandis que l’on se rationne en bas (salaires qui ne suivent pas l’inflation, un habitant sur quatre qui se restreint sur son assiette).
Pour une fois, la majorité dans l’Assemblée reflétait une majorité dans le pays : 59 % des Français sont favorables à la taxation des superprofits (22 % contre). Et cette mesure est transpartisane : c’est 63 % chez les électeurs macronistes, 54 % chez les Républicains. Et c’est là que le fait parlementaire, qui paraît anecdotique, ce 49.3 sur le budget, devient un fait social, profond, qui ne se limite pas aux travées de l’hémicycle : Emmanuel Macron gouverne sans la majorité dans la nation. Et même, contre la majorité dans la nation.
Comme le dit François Bayrou, « le pays a besoin de justice, de signes de justice ». Ces taxes n’étaient que « symboliques » avoue-t-il : elles allaient rapporter quelques centaines de millions d’euros (contre les dizaines de milliards à récupérer). Mais la symbolique, c’est aussi de la politique, la justice, le sentiment d’une justice, passe aussi par des gestes. Et cette symbolique, pour minime qu’elle soit, ouvrait une brèche, un chemin pour demain : oui, quand 62 % des dividendes, les deux tiers des 44 milliards d’euros du Cac 40, vont non pas aux 10 % des foyers les plus aisés, non pas aux 1 %, mais aux 0,1 % ! Gigantesque pactole ! Oui, il y a besoin, alors, de taxer ces nouveaux seigneurs.
Cette symbolique, donc, cette justice minimale, les Marcheurs ne la tolèrent pas. L’injustice sera pleinement rétablie par 49.3. Ils agissent en fanatiques de la finance, en extrémistes de l’argent roi, pour que les privilèges de ces 0,1 %, soient pleinement maintenus. De même qu’ils n’ont rien fait, rien, pour relever les salaires des nouveaux serfs, les agents d’entretien, les caristes, les manutentionnaires, les travailleurs de la deuxième ligne, dont les revenus sont rognés par l’inflation, « modérés » depuis quand ans, quand le capital ne se modère aucunement.
Les députés macronistes croiront gagner, sans doute, pour un temps. Mais qu’installent-ils dans les cœurs ? Du dégoût, de l’écœurement, du ressentiment. C’est le rejet de la « démocratie » quand, aussi effrontément, les gouvernements dirigent sans le peuple, contre le peuple.
Et le pire est à venir.
Le pire, c’est les retraites.
Je le redis : ce sera une folie, alors, une folie, de repousser l’âge de départ contre 72 % des Français. Une folie, dans la durée, contre la démocratie.
Emmanuel Macron n’a pas, aujourd’hui, la majorité.
Mais avouons-le : il n’y a pas, aujourd’hui, de majorité.
Voilà qui réclame, du coup, pour la France, de la sagesse, du doigté, de l’apaisement. Et non ce jusqu’auboutisme des marchés, imposé par la force.

François Ruffin

  Je viens de lire un article que la France demandait l aide des americain pour relancer leurs parc nucléaire.    Pourtant la France a toujours été reconnu dans le passer pour être dés crack dans ce domaine.