Moiself a écrit:
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Moiself a écrit:
Mais devenu tellement dangereusement banal !cristaline a écrit:Pompiers et policiers caillassés lors d'une intervention à Compiègne via 20 Minutes
Impossible de copier l’article en entier : c’est grave, très grave !!!
cristaline a écrit:Pompiers et policiers caillassés lors d'une intervention à Compiègne via 20 Minutes
Impossible de copier l’article en entier : c’est grave, très grave !!!
Oui mais le seul chiffre sur la délinquance qui a été rendu public officiellement avec tambour et trompette, c'est celui des vols qui est en baisse.beced a écrit:
Vlà l'article du parisien.fr :
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..
Plusieurs individus ont pris à partie les soldats du feu en intervention dans une concession Peugeot, aux abords du quartier du Clos-des-Roses.
Il est un peu moins de 21 heures , dans la soirée de vendredi à samedi, quand les pompiers de Compiègne sont alertés pour un incendie qui vient de se déclarer au sein de la concession Peugeot, rue Clément-Bayart. Un garage situé à une centaine de mètres seulement du centre de secours, et qui fait face aux premiers immeubles du quartier du Clos-de-Roses, à Compiègne.
Sur place, les sapeurs-pompiers sont rapidement pris à partie par « une vingtaine » d’individus. Les soldats du feu, qui essuient des jets de pierres puis de canettes, sont encadrés par un cordon de sécurité policier pour venir à bout des flammes. « Les heurts sont rapidement retombés, précise Eric de Valroger, le président du Service départemental d’incendie et de secours (Sdis) de l’Oise. Mais il faut saluer l’ensemble des sapeurs-pompiers et des forces de sécurité mobilisés dans des conditions particulièrement difficiles. Il n’y a pas eu de blessés, ni dégâts sur nos véhicules. »
SDIS de l'Oise@SDIS60
Ce soir, les #pompiers de Compiègne ont été pris à partie et caillassés alors qu'ils intervenaient sur un feu concernant 15 véhicules dans l'enceinte du garage Peugeot. @PompiersFR @SoldatsdufeuMag
11:07 PM - Nov 17, 2017
3 3 Replies 48 48 Retweets 20 20 likes
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Ce samedi matin, les premiers employés arrivés sur place commencaient à peine à prendre la mesure des dégâts. Au total, « une vingtaine » de véhicules, situés à l’arrière de la concession, ont été ravagés par les flammes. Le feu ne s’est pas propagé aux bâtiments. « On constate les dégâts au compte-gouttes », souffle un salarié.
Selon les premiers éléments de l’enquête, une seule voiture aurait pris feu, l’incendie se propageant ensuite aux véhicules voisins. Les techniciens de l’identification criminelle se sont rendus sur place dans la journée et ont notamment pu exploiter les images des caméras de vidéosurveillance. « A ce stade, il n’y a pas de pistes qui peuvent laisser penser à un acte criminel », assurait le parquet de Compiègne ce samedi soir. « Il existe encore un doute sur l’origine criminelle du feu », abonde un enquêteur. Plusieurs plaintes ont en tout cas été déposées dans la journée.
Ce n’est pas la première fois que les pompiers interviennent dans des conditions difficiles dans la cité impériale. « On est hélas dans la continuité », souffle l’un d’eux ce samedi. Plusieurs d’entre eux s’étaient notamment fait caillasser dans la nuit du 14 juillet 2016 alors qu’ils partaient sur un incendie volontaire. Plusieurs pierres avaient été jetées sur leurs véhicules, touchant la vitre latérale arrière d’un fourgon.
« C’est très grave »
Les heurts de ce vendredi soir viennent confirmer, s’il en était besoin, les conclusions de l’étude de l’Observatoire national de la délinquance (ONDRP) publiées cette semaine. Elles mettent notamment en lumière une nette hausse des agressions sur les sapeurs-pompiers. Un phénomène très net dans l’Oise, où 106 actes ont été recensés en 2016.
En 2015, aucune agression n’avait été officiellement recensée. « Ça commence à se multiplier », déplore un soldat du feu contacté ce samedi. « Face à l’ampleur du phénomène, il faut désormais dénoncer haut et fort et systématiquement ces faits, insiste Eric de Valroger. Il ne s’agit plus de les dissimuler comme par le passé. En s’attaquant aux pompiers, les voyous s’attaquent à l’uniforme et c’est très grave. »
Le président du Sdis a notamment donné l’instruction de déposer plainte de façon « systématique », à la suite d’agressions dont pourraient être victimes les pompiers.
Comme on n'ose pas dénoncer par exemple les violences sur des Français de ces soi-disant mineurs que les parents nous envoient d'Afrique, du Maroc et de l'Algérie tombés dans la délinquance. Ils sont 25000 alors qu'ils n'étaient que 500 en 2016 et chaque individu nous coûtent aujourd'hui 50 000€.Azalee a écrit:
Oui mais le seul chiffre sur la délinquance qui a été rendu public officiellement avec tambour et trompette, c'est celui des vols qui est en baisse.
A quoi bon parler du reste...
cristaline a écrit:Merci, Beced : c'est bien l'ampleur de ce fait divers qui en fait la gravité ; j'ai lu des commentaires d'internautes souhaitant que les voyous-racailles qui font ça ne soient pas secourus en cas de besoin , je rejoins cet avis, pourquoi se décarcasser pour des criminels qui resteront impunis pour la plupart ?
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C'est devenu une véritable tradition. C'est pratiquement devenu culturel.cristaline a écrit:Voilà que je lis, dans les infos de FR3, que le Mirail à Toulouse a encore été le théâtre de violences devenues hélas routinières en cette période ; voitures brûlées, policiers caillassés, franchement, je les soutiens à fond, ils font le sale boulot, pendant que nous autres sommes en train de fêter la nouvelle année ; là, pour le coup, j'attends des sanctions exemplaires de la part du gouvernement, y'en a ras le bol ! Et les policiers gravement agressés à Champigny/ Marne ! Tant que ces exactions continueront, et que les voyous resteront trop souvent impunis et triomphants, le fameux "vivre ensemble" restera un voeu pieux ! En même temps, je crois qu'on en est bien conscients, hélas, et comme le gouvernement fait semblant que tout va bien, en coulisses les voix FN prospèrent !
beced a écrit:
Vlà l'article du parisien.fr :
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Plusieurs individus ont pris à partie les soldats du feu en intervention dans une concession Peugeot, aux abords du quartier du Clos-des-Roses.
Il est un peu moins de 21 heures , dans la soirée de vendredi à samedi, quand les pompiers de Compiègne sont alertés pour un incendie qui vient de se déclarer au sein de la concession Peugeot, rue Clément-Bayart. Un garage situé à une centaine de mètres seulement du centre de secours, et qui fait face aux premiers immeubles du quartier du Clos-de-Roses, à Compiègne.
Sur place, les sapeurs-pompiers sont rapidement pris à partie par « une vingtaine » d’individus. Les soldats du feu, qui essuient des jets de pierres puis de canettes, sont encadrés par un cordon de sécurité policier pour venir à bout des flammes. « Les heurts sont rapidement retombés, précise Eric de Valroger, le président du Service départemental d’incendie et de secours (Sdis) de l’Oise. Mais il faut saluer l’ensemble des sapeurs-pompiers et des forces de sécurité mobilisés dans des conditions particulièrement difficiles. Il n’y a pas eu de blessés, ni dégâts sur nos véhicules. »
SDIS de l'Oise@SDIS60
Ce soir, les #pompiers de Compiègne ont été pris à partie et caillassés alors qu'ils intervenaient sur un feu concernant 15 véhicules dans l'enceinte du garage Peugeot. @PompiersFR @SoldatsdufeuMag
11:07 PM - Nov 17, 2017
3 3 Replies 48 48 Retweets 20 20 likes
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Ce samedi matin, les premiers employés arrivés sur place commencaient à peine à prendre la mesure des dégâts. Au total, « une vingtaine » de véhicules, situés à l’arrière de la concession, ont été ravagés par les flammes. Le feu ne s’est pas propagé aux bâtiments. « On constate les dégâts au compte-gouttes », souffle un salarié.
Selon les premiers éléments de l’enquête, une seule voiture aurait pris feu, l’incendie se propageant ensuite aux véhicules voisins. Les techniciens de l’identification criminelle se sont rendus sur place dans la journée et ont notamment pu exploiter les images des caméras de vidéosurveillance. « A ce stade, il n’y a pas de pistes qui peuvent laisser penser à un acte criminel », assurait le parquet de Compiègne ce samedi soir. « Il existe encore un doute sur l’origine criminelle du feu », abonde un enquêteur. Plusieurs plaintes ont en tout cas été déposées dans la journée.
Ce n’est pas la première fois que les pompiers interviennent dans des conditions difficiles dans la cité impériale. « On est hélas dans la continuité », souffle l’un d’eux ce samedi. Plusieurs d’entre eux s’étaient notamment fait caillasser dans la nuit du 14 juillet 2016 alors qu’ils partaient sur un incendie volontaire. Plusieurs pierres avaient été jetées sur leurs véhicules, touchant la vitre latérale arrière d’un fourgon.
« C’est très grave »
Les heurts de ce vendredi soir viennent confirmer, s’il en était besoin, les conclusions de l’étude de l’Observatoire national de la délinquance (ONDRP) publiées cette semaine. Elles mettent notamment en lumière une nette hausse des agressions sur les sapeurs-pompiers. Un phénomène très net dans l’Oise, où 106 actes ont été recensés en 2016.
En 2015, aucune agression n’avait été officiellement recensée. « Ça commence à se multiplier », déplore un soldat du feu contacté ce samedi. « Face à l’ampleur du phénomène, il faut désormais dénoncer haut et fort et systématiquement ces faits, insiste Eric de Valroger. Il ne s’agit plus de les dissimuler comme par le passé. En s’attaquant aux pompiers, les voyous s’attaquent à l’uniforme et c’est très grave. »
Le président du Sdis a notamment donné l’instruction de déposer plainte de façon « systématique », à la suite d’agressions dont pourraient être victimes les pompiers.
C'est une proposition que j'avais faite il y a plus de 5 ans sur ONPC et que j'ai renouvelée deux fois par an sur les forum que j'ai eu le malheur de fréquenter.
Flavius a écrit:
C'est une proposition que j'avais faite il y a plus de 5 ans sur ONPC et que j'ai renouvelée deux fois par an sur les forum que j'ai eu le malheur de fréquenter.
C'est une excellent façon de régler le manque de places de prisons ; de faire exécuter les 100.000 peines prononcées par an et jamais exécutées.
Ça serait aussi un moyen de créer des emplois dans les DOM ou les TOM, là où le chômage touche une grande partie de la population, notamment les jeunes.
On éloignerait ainsi les dealers qui font la loi dans les cités et soulagerait les honnêtes gens.
Ça va faire plaisir aux parents de la jeune femme ! Ah le vivre ensemble culturel...cristaline a écrit:
Reportage il y a deux soirs sur "un jeune de cité" ( une racaille, donc), qui avait tabassé une fille ; il prétendait l'éduquer..............![]()
Il reconnaît les faits en rechignant, et parce qu'il y est acculé !
A la fin : ce jeune est remis en liberté avec rappel de la loi................INSUPPORTABLE ! Car c'est la fille qui n'ose plus sortir.....![]()
Vous avez raison. Quand la force n’est plus du côté de la loi, alors on est proche de l’anarchie avec pour conséquence à terme la création de milices.cristaline a écrit:Reportage hier sur un couple de policiers, qui, après être sortis d'une soirée, se sont fait coincer sur la route, attaquer, jeter à terre, rouer de coups, et lyncher grave de grave sous les yeux de leurs enfants ; attaque gratuite contre des policiers qui n'étaient pas en service ( le premier qui me parle de violences policières, je le scalpe menu !) ; d'un côté, des racailles ordinaires ( donc, des macaques décérébrés), avides de vengeance, de l'autre, des fonctionnaires qui font leur boulot, et qui ont des enfants....Le pompon fut la "chute" : "ils ressortent libres sous contrôle judiciaire" ; la femme flic, que l'on voit dans le reportage avec son bébé, a la trouille ; la peur n'a toujours pas changé de camp, et ça s'aggrave ! J'attends une protestation massive en faveur des forces de l'ordre : j'en serai !