par Invité Mer 18 Nov 2020 - 20:25
Flavius a écrit:Et bien ma femme l'a reprise sur Facebook et elle était en effet barbière. Belge je n'en sais rien.
Moi je l'ai trouvée sur Tweeter et elle tenait soi-disant un restaurant. Je ne m'avancerai pas plus car je n'en sais rien. Mais ce dont je suis sûr c'est que cette femme s'est donnée la mort au regard des ennuis rencontrés par la situation actuelle.
Donc je confirme que c'est la jeune Belge de 24 ans (Alysson) qui ne disposait pas des mesures prises par le gouvernement français.
Si c'est bien la barbière, elle avait ouvert son salon en août dernier. Elle avait fait une vidéo où elle expliquait ne bénéficier d'aucune aide.
Rien ne dit évidemment que ça n'arrivera pas en France, mais il ne fait pas mettre la mort de cette jeune femme sur le confinement en France.
Je pense que le jour où ça arrivera, les médias en perleront.
Je précise que j'avais vu l'info sur Twitter et que j'avais cherché sur internet et découvert qu'elle était belge, ce que le tweet ne mentionnait pas, laissant sou-entendre que c'était à cause du confinement en France et de la fermeture des petits commerces.
"Le 3 août dernier, Alysson avait ouvert son salon de barbier rue Saint-Gilles à Liège, en Belgique, juste après le confinement. « Sa boutique », comme elle aimait l’appeler, était le rêve de toute une vie. Cette barbière de 24 ans y pensait depuis son enfance. Mais, quelques semaines à peine après l’ouverture, Alysson a dû fermer son commerce car l’activité de barbier a été jugé comme “non essentiel” par le gouvernement belge. À cause des mesures sanitaires, elle faisait face à d’importantes difficultés financières. Les clients étaient devenus plus rares et sa comptable lui conseillait de fermer son salon, seulement quatre mois après l’avoir ouvert. De plus, elle n’a pas pu bénéficier du droit passerelle parce que son commerce était trop récent. “Je suis inéligible aux aides proposées” avait témoigné la jeune femme. Dans un accès de désespoir, Alysson a mis fin à ses jours lundi. « Ce qui est sûr, ce qui a mis l’étincelle à toute cette poudre, c’est d’être considérée comme non essentielle » a témoigné l’oncle de la victime. « Et de devoir fermer boutique sans aucune aide financière de la part de qui que ce soit. » a-t-il ajouté."