Bernardine de St Pierre a écrit:
Aux États-Unis, dès les années 1990, les paroles et gestes de Gérard Depardieu sont jugés déplacés. Porté par le succès du Cyrano de Bergerac de Jean-Paul Rappeneau, l'acteur tente la conquête du rêve américain mais... se casse le nez : il normalise le viol dans ses interviews, affirmant que c'était "une part de son enfance". Face aux réactions des défenseurs des droits des femmes et des éditorialistes, Depardieu tente d'invoquer un défaut de traduction, mais il est trop tard : le milieu hollywoodien lui ferme ses portes. En France, à la même époque, on encourage ses outrances, avec la formule consacrée "ça va, c'est Gérard !".
Madame de Saint Pierre,
Je reviens uniquement sur son aventure américaine qui ne date pas d'hier où il " précisait " lors d'un interview qu'un de ses
premiers flirts avait eu lieu alors qu'il n'avait que neuf ans et sans preuve ni attestation qu'il avait abouti.
Mais comme la presse américaine à l'instar de celle de la Grande Bretagne est friande de " tels scoops " ils en ont fait des
tonnes et ceci pendant des semaines où les ricochets ont même atteint les rives françaises et européennes.
Il est une très sale habitude, celle de grossir les paroles en les interprétant, cette manie est absolument irresponsable et je
pense de plus en plus que le journalisme face à de tels faits et même plus graves si avérés dans le cas actuel ne sont que
des raisons journalistiques en manque de notoriété !
Ce n'est pas le cinéma d'Outre Atlantique qui l'a rejeté mais lui qui s'en est passé face à la vindicte mal posée des médias!
GD se fout éperdument d'Hollywood et ne court pas après les honneurs d'une académie, fût t'elle des oscars.
Il a toujours eu sa liberté de paroles et perso je suis à 50/50 sur ses différentes prestations mais ces féministes grand teint
feraient mieux de regarder dans leurs entourages, surtout proches!
Ymar